Georges Brassens

Un passage de la vie de ce grand  auteur,  compositeur et interprète français  

(1921-1981) 

À Paris, il lui faut trouver une cachette car il est impossible de passer à travers les filets de la Gestapo en restant chez la tante Antoinette. Jeanne Planche accepte d'héberger ce neveu encombrant. Avec son mari Marcel, elle habite une maison extrêmement modeste au 9, impasse Florimont. Georges s’y réfugie le 21 mars 1944, en attendant la fin de la guerre. On se lave à l’eau froide, il n’y a ni gaz, ni électricité (donc pas de radio), ni le tout-à-l’égout. Dans la petite cour, une vraie ménagerie : chiens, chats, canaris, tortues, buse… et la fameuse cane qu'il célèbrera dans une chanson. Il est loin de se douter qu’il y restera 22 ans.

Comments

[apsara]

la canne de Jeanne,ma maman,est bien différente!!


Beezoo

[Aude Terrienne]

Tu m'apprends un pan de la vie de ce Grand Monsieur. Merci, c'est mon fétiche, j'ai pleuré quand il est mort, ce n'est pas mon genre de pleurer sur des vedettes. Bisous

[Mamie Claude]

Quelques grands comme lui manquent tellement. gros bisous et bon bain dominical !

[Brunô]

Un morceau de vie que tu nous révèles et ce personnage bien à part, poète et railleur qui n'a plus d'équivalent aujourd'hui.


Gros bisous Mamie

[Mamie Claude]

... et très contreversé pendant longtemps, cependant il restera un grand. Gros bisous

[Eglantine-Lilas]

coucou !


j'ignorais ce morceau de sa vie...Brassens et mon adolescence...mon premier chanteur favori et ses chansons qui faisaient scandales à l'époque !...elles sont bien édulcorées par rapport à ce
qu'on entend maintenant !


grosses bises

[Mamie Claude]

OUI MAINTENANT les chanteurs (vrais chanteurs) qui expriment sentiments et références à l'histoire et à l'actualité, sont très rares. Gros bisous Monique.